EDM-Sodusi, la dynamique d’un expert métaux
Spécialiste depuis 1938 de l’emboutissage et du découpage de tous types de matériaux, la société Emboutissage du Mail, désormais dénommée EDM-Sodusi, est en pleine expansion ces dernières années.
L’entreprise familiale EDM connaît un nouvel élan depuis sa reprise en 2013 par Éric Marciano, puis sa fusion en 2015 avec la filiale Sodusi, aux métier et clients identiques. “L’ensemble du personnel et des équipements de Sodusi à Voiron ont alors rejoint le site d’EDM à Saint-Jean-de-Moirans, ce qui a permis de rationnaliser l’organisation et la fabrication”, confie son président Éric Marciano, qui a tenu à conserver les deux identités sous l’appellation commerciale EDM-Sodusi. L’entreprise fabrique ainsi des pièces et sous-ensembles métalliques à forte valeur ajoutée, sur la base du cahier des charges de ses clients, en misant sur la rapidité et la qualité de ses process.
Plusieurs projets de développement
Intervenant auprès de grands groupes internationaux, ETI et PME dans de nombreux domaines industriels (électromécanique, médical, automobile, aéronautique, défense, ferroviaire…) essentiellement en France, EDM-Sodusi rayonne aussi en export indirect en Europe, Asie, États-Unis, Indonésie et Chine. “Nous commençons à prospecter les pays limitrophes de l’Hexagone après avoir réussi le challenge d’ouvrir en 2015 un bureau commercial à Francfort.” La société a également acquis en 2017 une structure de 11 personnes près de Paris, spécialisée en découpe et gravure photochimique, positionnée sur des marchés complémentaires. En progression de chiffre d’affaires et d’effectif, EDM-Sodusi reste à l’écoute d’autres opérations de croissance externe.
A. Zylberberg
Infos clés
- Découpage, emboutissage de métaux, fabrication d’outillages
- Saint-Jean-de-Moirans
- Environ 110 salariés, dont 20 embauches en trois ans
- CA 2017 : 9 M€
- CA prévisionnel 2018 : + 10 M€
A savoir
- Avec 2 500 références actives pour 200 clients très représentatifs, nous fabriquons des petites, moyennes et grandes séries, de quelques milliers de pièces à 2 millions par an.
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