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Présences Grenoble
Management / Formation / RH — Le 31 août 2021

La filière microélectronique en plein recrutement

Berceau historique du numérique et des micro-nano technologies, la métropole grenobloise s’affiche comme un terreau fertile en matière d’emplois innovants. Les opportunités de carrière ne manquent pas, à tous niveaux de compétences.

© AdobeStock

Quarante et un mille cinq cents emplois. C’est le nombre de personnes travaillant pour la filière du numérique et de la microélectronique en région grenobloise. Il s’agit du tout premier pôle en France, concentrant à lui seul un tiers des emplois de la branche. Le secteur, avec des entreprises et laboratoires au rayonnement international, affiche de solides perspectives de développement. Il est soutenu au niveau national par le plan Nano2022, engagé en 2019, qui représente une enveloppe de près de 1 Md€, visant à créer près de 4 000 emplois directs et 8 000 indirects dans l’Hexagone. Plus récemment, en mars dernier, la signature de l’avenant au contrat de filière a permis d’écrire de nouveaux axes structurants pour répondre aux enjeux prioritaires du Plan France Relance. L’un porte sur le renforcement des emplois dans la filière et sur une volonté de favoriser un recrutement plus inclusif, notamment en sollicitant plus de jeunes et de publics en reconversion/insertion.

Des opportunités nombreuses

Forts de leur positionnement, les acteurs grenoblois sont les premiers à bénéficier de ces dispositifs et à s’impliquer pour innover, se développer et embaucher. L’entreprise Ulis-Sofradir envisage ainsi de créer 300 emplois, Soitec en a déjà recruté 500 en trois ans. La liste devant s’allonger, le besoin en main-d’œuvre est grand. Des postes d’ingénieurs hardware aux techniciens de salles blanches, en passant par des agents de maintenances électromécaniques, les profils recherchés sont nombreux et le niveau de compétences très étendu, de niveau CAP à bac +5. Certains postes de techniciens et opérateurs de production manquent de candidats, confirme le comité stratégique de filière Industrie électronique. Pour rendre attractive cette industrie, elle déploie plusieurs initiatives dans le but de « renforcer la formation initiale et l’alternance, mais aussi l’offre de formation continue ».

R. Charbonnier

Se former à Grenoble

Grenoble INP et l’Université Grenoble Alpes se sont associés pour le master Nanosciences, Nanotechnologies. L’école propose un vaste catalogue pour travailler ensuite dans cette filière au poste de chef de projet technologique, manager technique, etc.

• Possibilité de devenir ingénieur en nanotech au sein de l’école d’ingénieurs Phelma.

• Le Greta de Grenoble propose de nombreuses formations en électronique et numérique, comme les BTS en systèmes numériques ou encore le titre d’opérateur en micro-nanotechnologies.

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